Hello my name is
♣ Invité ♣
| Sujet: Like a Boss [Minamoto Hiroki] [Finie 100%] Lun 28 Jan - 13:27 | |
| MINAMOTO HIROKI Carte d'identité ♣ Nom : Minamoto ♣ Prénom : Hiroki ♣ Age et date de naissance : 21 ans/ 1992 ♣ Lieu de naissance/Nationnalité : Tokyo/Japonnais ♣Université: Ouran ♣ Métier/Scolarité : 4ème année Sports Combat ♣ Sexualité : Hétéro ♣ Situation Amoureuse : Célibataire ♣ Avatar utilisé : Oguri Shun | |
Caractère Zlan, in your face ! Hiroki n'est pas un jeune homme à se laisser impressionner par les autres. Car il sait que lui, il est fort. Les règles de l'humilité devraient lui rappeler qu'il y a toujours plus fort que soi. Mais l'humilité, c'est pour les faibles. Ce n'est donc pas pour lui. Hiroki, c'est un jeune homme persuadé d'être au summum de la hiérarchie des bastons universitaires. Et même en dehors de l'université. Il est sûr de lui, et cette assurance, il la porte magnifiquement bien. Il ne baissera jamais son regard, mais forcera les autres à baisser leur regard. Gare à celui qui tentera de lui faire ravaler sa fierté oppressante, car il risque bien de terminer la tête au carré. Sang chaud Parce que ce cher Hiroki, loin d'être un ange, à tendance à faire souvent parler ses poings. Ou les points de ceux qui ont fait la bêtise de eu l'intelligence de le laisser devenir le chef des bagarreurs d'Ouran. Un petit gang universitaire qu'il mène à la baguette, ne laissant personne douter de lui sans une quelconque représailles. Si le mot honneur lui est vaguement familier, il ne l'applique guère lorsqu'il se laisse emporter par sa colère. Une colère du genre explosive. Il peut être tout à fait correct avec vous, si jamais vous lâcher un mot de travers, il peut vous envoyer à l'hôpital. Fille ou garçon, bébé, vieillard, ou jeune de son âge, il en a rien à foutre. Leader Ne pensez pas que cela l'empêche d'être un bon meneur. Loin de là. La jeune homme est charismatique, intelligent, et rusé. Il mène les garçons d'Ouran d'une main de maitre, et tant que ceux ci ne le contrarient pas, ils n'ont pas à se plaindre de lui. Une fois sa colère passée, il peut même être particulièrement machiavélique lorsqu'il s'agit de répondre à une trahison ou à quelques ratés qui ont empiété sur son territoire. Perfect Et ceci dans son but de perfection, du soucis du détail. Il ne laissera jamais aucun "crime" impuni, cela en va de son image, soigneusement travaillée depuis son arrivée à Ouran. Si quiconque allait à l'encontre de son autorité, et ce, sans en subir les conséquence, son image de meneur impitoyable. Il s'entraine sans relâche, bien qu'il soit au sommet de son université. Mais de un, il ne veut pas perdre sa place, de deux, il ne serait pas comment occuper son temps autrement. Il est capable de passer une heure devant un miroir histoire de choisir sa tenue, sa coiffure, ses accessoires de la journée, afin d'être parfait.... Ouais, ce mot là lui trotte toujours dans la tête. P A R F A I T. La perfection, ça doit aussi être sur ses hommes. Gare à celui qui se montrerait indigne de combattre à ses côtés. Tant au niveau du style que du skill. Don Juan raté Avec tout ceci, on pourrait penser que la gent féminine lui tombait dans les bras en un claquement de doigt. Mais non. En fait, seules tombent comme des mouches des pauvres filles complètement indignes de lui. Des nanas qu'il a beau mépriser de tout son être qui s'accrocheront à lui. Notons que quand il a une envie furieuse de se décharger, cela l'arrange bien. Mais en vérité, il aimerait bien être avec une fille qui soit digne de lui, tant dans la beauté, que dans l'intelligence, ou de la force de caractère. Et non, pas la force tout court, les femmes, c'est pas fait pour se battre après tout.... Physique Une image, il n'y a rien de mieux que des images pour décrire une personne. Et cependant, ce sont là des mots que nous utiliserons, car seuls les mots peuvent vous faire parvenir à la perfection le moindre de ses traits. Je vous dirais bien de fermer les yeux, et d'écouter, mais hélas, il parait que vous ne m'entendez pas. Il vous faudra juste lire... Dessinons tout d'abord sa silhouette. Le jeune homme est grand. Il mesure très exactement un mètre, quatre vingt trois centimètres et huit millimètres. Arrondissons donc, comme son médecin, même si cela ne plait guère à ce phénomène emprunt de perfection et de justesse, à 1m84. Nous disions donc, grand. Pour des japonnais où la taille moyenne des jeunes hommes se situent dans le mètre 75, on peut dire qu'il dépasse beaucoup de ses compatriote d'une belle tête. Oui, parce que en plus, il faut savoir que la population jeune de Japon est plus grande que les génération précédentes. Ainsi, Hiroki dépasse tout ses professeurs, et ce, depuis le lycée. Sa taille n'est qu'un élément lui permettant d'intimider. Sa stature, bien loin certes de l'armoire à glace, est athlétique. En vérité, ses muscles sont la deuxième chose que l'on remarque chez lui, après sa taille donc. D'autant plus qu'il a pour habitude de rouler des mécaniques sous des T-shirts serrés, voire des débardeurs, de couleur sombre ne laissant guère place à l'imagination, mais mettant parfaitement en valeurs des abdos, des pectoraux, des biceps et triceps parfaitement dessinés. On ne peut avoir guère de doute en le croisant dans la rue. Ces muscles, il s'en sert ! Longs, fins, structurés. Ils sont fait pour la baston. Habillons maintenant cette silhouette. En précisant d'abord que le jeune homme possède une peau mate, un teint halé. Un don de ses parents originaires de Hokkaido, qui le différencie de ses camarades bien pâles. Des cheveux, fort étonnement, noirs, qu'il porte long, puisqu'ils descendent dans sa nuque. Ils encadrent un visage long et fin, bien que celui ci soit quelque peu alourdit par un nez qu'il déteste tant il le trouve énorme. Si l'on devait continuer dans ce qu'il n'aime pas chez lui, on pourrait enchainer sur ses yeux, qu'il trouve légèrement trop enfoncés. Voilà qui n'arrangeait pas leur noirceur habituelle. Il est en effet quasiment impossible de différencier son iris de sa pupille dans cet iris est sombre. Par contre, il adore ses lèvres. S'il le pouvait, il s'embrasserait lui même ! Un accès de narcissisme facilement pardonnable tant celles ci sont une invitation aux baisers. Une bouche en cœur, aux lèvres ni trop grosses, ni trop fines, justes parfaites. Histoire Nous commencerons par faire court. Naissance, rien à signaler. Enfance, chiante à en crever. Passons donc à l'adolescence ! (Oui oui, vous ne vous trompez pas, je viens de décrire pas loin de la moitié de sa vie en moins de deux lignes !) Bon, nous dirons quand même qu'il est né dans une famille tokyoïte dans la moyenne des autres familles tokyoïte. C'est à dire que son père est un salary man dans une entreprise quelconque, qu'il part tous les matins travailler, et revient le soir, après avoir bu avec ses collègues. Que sa mère est mère au foyer, qu'elle ne va au dehors de la maison que pour faire les courses de la maison et emmener les plus jeunes à l'école maternelle. Que sa petite soeur était une peste. Et que son petit frère avait une tendance à le vénérer. Ce passage là pouvant peut être expliquer ses débuts de mégalomanie dès son arrivée au collège. Justement, nous y arrivons au collège ! Pour placer les choses, il faut d'abord se rendre compte que même en première année, il avait une carrure plus imposante que beaucoup de deuxième année. Il ne faut donc pas s'étonner que les différents clubs de sports se sont tous précipiter vers lui. Lui, qui en était particulièrement fier. Le première année le plus courtisé par ces clubs fit un tour dans chacun d'entre eux. Football américain, basketball, baseball, et autres sports collectifs l'emmerdaient profondément. Il n'aimait pas devoir faire avec les autres. Non, ce qui attira son attention, ce furent les sports de combat. Il avait pour ceux là un véritable don. Boxe. Aikido. Judo. Karaté. Lutte. Ces cinq sports le fascinaient. Il abandonna la lutte, parce qu'il trouvait que ses sempai de ce club étaient trop difforme. Mais pour choisir entre le reste, ce fut particulièrement compliqué. Mais, connaissez vous l'avantage d'être courtisé ? Et bien, c'est le nombre de caprice que l'on vous cèdes... Ainsi, lors de sa première année au collège, le jeune homme fut dans quatre clubs. Une année pendant laquelle il eut tout le loisir d'analyser, et de choisir. Ainsi, il mit en quatrième position, le judo. Agripper à des mecs, c'était pas son truc. Sur la dernière marche du podium, l'aïkido. Trop codifié, trop lent. En deuxième position la boxe. Parce qu'il a vu le nez cassé de l'un de ses sempai, et même s'il détestait son nez, ce serait pire encore si celui ci était cassé. Et il choisit donc le karaté. Attention... Il n'arrêta pas pour autant de fréquenter les autres clubs. Disons simplement que les matins et les midis furent dès septembre tous réservés au karaté. Une après midi était accordée au judo, une à l'aikido, deux à la boxe. Enfin, plutôt que d'aller à des cours du soir, le jeune adolescent fréquenta un dojo. Résultat de cette affaire ? A la fin de cette année, Hiroki pouvait d'or et déjà battre un grand nombre de ses sempai du club de karaté. Et même dans les autres clubs, il figurait parmi les meilleurs des premières années. Pas assez pour figurer dans les équipes participant aux tournois, mais toute de même. L'on savait qu'il était dangereux de se frotter à lui. Bien, nous avons là un garçon de 12 ans, qui se bat particulièrement bien. Il maitrise parfaitement le karaté, et sait se servir de ses bases dans quelques autres arts martiaux. Et d'ailleurs, il dédit sa vie uniquement à ces arts martiaux, même s'il apprécie se faire mousser. Ses études ne sont pas impressionnantes, certes, mais loin d'être catastrophiques. Il se choppe la moyenne, le sport rattrapant très largement quelques faiblesses dans d'autres matières. A noter cependant que le garçon se dépatouillait vraiment pas mal en histoire et en mathématiques. Un détail relativement important, car il peut en partie expliquer son côté stratège. Cependant, nous n'avons pas un enfant bagarreur, comme l'étudiant qu'il est actuellement. Nous en déduisons donc qu'il s'est encore passé quelques petites choses amusantes dans sa vie. Commençons donc par son déménagement. Au cours de sa deuxième année, pendant les vacances d'été, son père fut muté en province. La famille suivit logiquement le mouvement, et voici un jeune garçon qui dut aller dans un nouveau collège. On le sait tous, les gamins, ça aime pas les déménagements. Hiroki n'a pas exception. Il a eu du mal à se faire une place dans son nouveau collège. Déjà, il n'avait été autorisé à joindre que le club de karaté, et n'avait pas pu rejoindre l'équipe du collège puisque arrivé en cours d'année. Ensuite, il n'était plus considéré comme le Prince de l'établissement, et cela était vraiment vexant pour lui. Quel fut le résultat de ceci ? Hiroki, en garçon plutôt du genre sanguin, se battit avec nombre de ses camarades des clubs de sports de combats. Et rarement à la régulière. En dehors de tout ring, ou de tout tatami, sans aucune règle. Il les écrasa tous, profitant de sa maitrise de plusieurs styles de combat. Alors, bientôt, il ramassa autour de lui toute une bande de garçons paumés et bagarreurs. Bref, un gang fut formé. Et si tant qu'ils restaient une bande de gamin, sa zone d'influence restait le collège, dès qu'il fut au lycée.... Il "contrôla" tout un quartier, englobant son lycée, son ancien collège, et quelques commerces. Inutiles de préciser que à cette période, Hiroki s’attira de nombreux ennuis. Ses notes chutèrent, il ne fréquentait plus aucun club, et il se fit même arrêter par la police alors qu'il rackettait un commerçant ! Trop, c'est trop. Son père, désespéré par l'attitude de son fils, décida suite à cette arrestation de l'inscrire dans un pensionnat. Un lycée bien côté, qui l'accepta pour deux raisons. Premièrement, son professeur d'histoire a bien voulu lui faire une lettre de recommandation. Deuxièmement, le professeur de sport de ce pensionnat avait entendu parler de lui au collège de Tokyo. Il fut donc admis in extremis, mais il fut admis, pour la fin de sa deuxième année, et sa troisième année ! Ce changement là fut une véritable providence pour lui. Il retrouva enfin la place qui selon lui lui était due dans un établissement. Il intégra le club de karaté, puis l'équipe de titulaire en un rien de temps, et emmena le tout à la finale nationale. Ses notes remontèrent, et par conséquent, malgré ce petit passage tumultueux au milieu de sa vie, de nombreuses universités s'intéressèrent à lui. Lui, il ne s'en intéressa qu'à une seule. En vérité, même si cette petite vie qu'il menait dans le pensionnat était tranquille, sympathique, et lui permettait de serrer un max de nanas, il s’ennuyait des grands frissons de combats de rue. Alors, quand il entendit parler de ces deux excellentes universités rivales dans une même ville, il sauta sur l'occasion. Il fit son choix de prime, un peu au hasard. C'est tombé sur Ouran. Il y fut admis sans trop de difficultés, encore moins après qu'il ait gagné le tournois de karaté national individuel, et que l'équipe de son pensionnat fut deuxième. Un palmarès qui aurait pu être imposant, sans ses conneries. A Ouran, il retrouva quelques personnes qu'il avait combattu ces deux dernières années. Des sempai qui l'avaient vaincu entre autre. Il se fit rapidement une petite place, et participa à de nombreuses rixes. Cependant, il prenait garde à ne pas trop se faire remarquer. Si jamais il se faisait prendre à se bastonner dans la rue, il pouvait avoir des problèmes à cause de sa période de trouble. Trois années passèrent donc. Et s'il se faisait discret, l'on ne pouvait nier ses indubitables qualités. Alors, malgré tout, il monta les échelons. Ceux de son âge lui montèrent à la tête que sa place, c'était même à la tête de l'école. Alors, quand l'ancien roi d'Ouran se retira, laissant sa place à son bras droit, Hiroki se laissa convaincre d'aller défier ce gars là. Pour la tête de l'école. Cela faisait un an que Ousen avait été battu, alors, ils devaient bien s'occuper entre eux ! Ce qui eut pour conséquence d'attirer foule de curieux à cette baston. Hiroki ne fit en réalité qu'une bouchée de ce prétendu roi. Alors, tout sourire, il décida de s'emparer de ce titre. Quelques mois ont passés depuis, et Hiroki est en quatrième année. Il fit le ménage autour de lui, prenant garde à ce que chacun des gars dans son entourage direct lui soit d'une fidélité à toute épreuve. Désormais,il règne d'une main de fer sur ces bagarreurs, et en est particulièrement fier. Il s'amuse beaucoup à commander ces pauvres gars. Mais sans Ousen à défier.... Il s'ennuyait. Les gangs de rue ne tenaient jamais longtemps face à eux. Dans ces conditions là.... L'on peut comprendre que la révolte d'Ousen l'amuse. Il a hâte de l'écraser. Mais pas trop vite en même temps... Qu'il est le temps de se divertir. Infos Obligatoires | Maku ║Votre âge: 21 ans o/ Enfin, 21 dans deux mois ^^' ║Votre fréquence de connexion: Heu.... faible ? *honte* ║Votre niveau de RP: Me dépatouille hu hu ║Comment avez-vous connu le forum?: *regard en biais sur un bras droit* ║Code de validité: [Code Validé par Tae Kyung ♥] |
Dernière édition par Minamoto Hiroki le Dim 24 Fév - 16:12, édité 11 fois |
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